L'expression «on est ce qu'on mange» s'applique tout autant à la dépression qu'aux maladies physiologiques. Sachez comment l'oméga-3 peut vous venir en aide.
21 septembre 2015
L'expression «on est ce qu'on mange» s'applique tout autant à la dépression qu'aux maladies physiologiques. Sachez comment l'oméga-3 peut vous venir en aide.
Le taux de dépression est relativement faible dans les pays où l'on consomme beaucoup de poisson, notamment au Japon, à Taïwan et en Finlande. En Amérique du Nord et en Europe, où l'on en consomme peu, ce taux est 10 fois plus élevé.
À noter: Les femmes qui ne prennent du poisson que rarement courent deux fois plus de risque de souffrir de cette maladie que celles qui s'en nourrissent souvent.
Bien que l'on associe généralement la dépression à des antécédents familiaux ou à des événements graves et douloureux de la vie (la perte d'un être cher, par exemple), elle peut également résulter d'une alimentation inadéquate.
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